• Le passe-temps principal de Kyoko, en tant que responsable est de... balayer les feuilles mortes et la poussière devant la maison... Cela pourrait paraitre un passe-temps trivial, mais elle avoue elle même que ça la détend et que ça lui permet de réfléchir...

    Mais ce n'est pourtant pas tout... tout au long de l'histoire, on se rendra compte qu'elle est capable d'exprimer beaucoup rien qu'en laissant s'envoler quelques feuilles, en balayant dans le vide ou en s'appuyant pensivement sur son balai... De plus, cette position privilégiée à l'entrée de la maison lui permet de suivre les allées et venues de tout son petit monde...

    Après tout, son travail est un travail de "concierge"... il faut bien se tenir informé... ^_^

    Kyoko dans l'exercice de son travail, porte souvent un tablier portant le dessin d'un petit poussin, ainsi que les mots "Piyo Piyo" en romaji.

    Outre qu'il s'agit d'un type de dessin courant à une certaine époque sur une ligne d'objets, ce tablier a une signification symbolique concernant la psychologie du personnage de Kyoko.
    En effet, Piyo Piyo est l'onomatopée que font les poussins. Ce tablier, au design mignon et enfantin, est là pour souligner la jeunesse et l'immaturité du personnage. A la fin de l'histoire (dans le film, "Maison-Ikkoku, chapitre final" et non dans le manga ni la série tv), Kyoko se verra offrir un nouveau tablier, portant le dessin d'une poule, ainsi que les mots "Koke Koke" (onomatopée de la poule adulte)... On voit bien sûr la force du symbole...

    Pour en revenir à son travail, Kyoko ne fait, bien sûr, pas que cela de ses journées. Que ce soit des réparations, du nettoyage, nourrir son chien, faire des courses, prendre le courrier, faire la lessive, s'occuper du jardin, etc... elle fait son travail de responsable et monsieur Otonashi père est d'accord avec moi pour dire qu'elle le fait bien ! ^_^

    La principale qualité de Kyoko, en tant que responsable de la pension, c'est d'avoir su en faire une famille et son principal mérite est d'avoir su résister à la folie ambiante, les locataires (dont Yusaku est peut-être le plus normal) étant portés sur les mauvaises blagues, la mauvaise foi et parfois même la méchanceté gratuite. Elle a su s'attacher chacun des pensionnaires et par sa patience, sa gentillesse et son ingénuité désarmante, gagner leur respect et même dans un cas particulier, leur amour...

     

     


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